Récemment, j’ai mis en place ce projet pour maintenir à jour mes compétences sur WordPress, tester de nouvelles extensions, en résumé, pour expérimenter un peu tout cela. Cependant :

Je publie régulièrement sur LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/guillaume-debas/recent-activity/all/), et parfois, je trouve les limitations de la plateforme un peu frustrantes.

Alors, je me suis dit : pourquoi ne pas rédiger un article sur ce blog WordPress pour explorer les différences entre écrire ici et sur LinkedIn ?

Dans cet article, je fais une comparaison entre un post LinkedIn et un article WordPress, mais il sera également adapté pour comparer d’autres posts de réseaux sociaux et d’autres plateformes de création de contenus.

La forme

Donc la première chose à laquelle on pense, c’est la possibilité de pouvoir faire de la mise en forme.

Mais bien sûr, il ne faut pas en abuser.

Ajouter une image d’illustration en plein milieu, c’est toujours sympa aussi :

Une femme, avec une expression dubitative, se tient devant une peinture moderne entièrement blanche où seul un texte est présent "illustration". Le musée en arrière-plan est dynamique et coloré, avec d'autres œuvres d'art abstraites exposées sur les murs.

Des exemples d’ajouts pour agrémenter un article sont très nombreux, je passerai les :

  • Listes à puces
  • Titres
  • Tableaux
  • Carrousels
  • Vidéos
  • Etc

J’aurais pu essayer de faire la liste complète des blocs que l’on peut ajouter dans un article WordPress, mais comme il est possible d’en rajouter d’autres avec des plugins ou de développer soi-même les siens, la liste serait sûrement un peu longue.

La longueur

Et puis, au-delà de la question des éléments que l’on peut ajouter ou non, on peut aussi se poser la question de la longueur du contenu.

Sur un post LinkedIn, on est limité à 3000 caractères. C’est souvent suffisant, mais parfois cela oblige à faire des coupes dans son post final.

Ce n’est pas toujours un mal, faire court, c’est bien aussi, car on n’est pas toujours inspiré à créer un contenu captivant.

Le fond

Mais ces premières limites ne seraient pas aussi gênantes si on utilisait un article LinkedIn plutôt qu’un post.

Et je n’évoque même pas les limites qui pourraient être encore différentes sur d’autres réseaux sociaux.

En revanche, lorsque l’on passe par un réseau social, on est forcément contraint de respecter les limitations éditoriales de la plateforme.

Alors, ces limitations sont plutôt larges, on s’en rapproche rarement et je ne vais pas afficher, sans raison, dans cet article des tableaux de nus de la Renaissance pour illustrer mon propos, mais on a déjà parfois vu dans le passé des censures étranges sur ces plateformes, et ce même sans avoir des propos « divergents ».

Home sweet home

Il y a sûrement un grand nombre d’autres arguments en faveur de rédiger des articles sur son propre média, qui m’échappent lors de la rédaction de cet article.

Mais finalement, il y a de grandes chances qu’ils finissent tous autour d’un même thème :

Rédiger sur quelque chose qui nous appartient, c’est se garantir le plus de liberté.

Mais attention, c’est bien connu :

Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.

Voilà, je m’arrête là pour cet article, je n’ai pas l’excuse du nombre de caractères, mais je me dis qu’il doit y avoir des personnes qui auront de meilleures idées que moi en faveur de la rédaction d’un article sur WordPress.

Alors, et vous ? Que diriez-vous sur ce sujet ?

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